Après avoir fait connaissance avec la tribu Watah Sistas, avoir eu l’occasion de les suivre sur quelques scènes ou prestations, j’ai été pris par une crise de « et après ? ».
Après tout, pourquoi se contenter de faire des photos comme tous les photographes qui pouvaient être présents sur les spectacles ou les prestations et ne pas chercher plus loin ?
J’ai proposé l’idée d’un projet de shooting, dans sa construction, rien n’était imposé, nous avons tout monté ensemble, la seule chose qui était imposée était l’horaire.
J’avais lancé un rendez-vous à 9h avec nonchalance et je me suis vite enfermé dans ma tête pour éviter de faire échos aux petites remarques du genre « si tôt ? »
Il faut bien dire, que se lever à 6h30 pour shooter un premier octobre, ça pique un peu, mais pour me consoler je n’étais pas tout seul.
Bref, l’idée était assez folle, mais nous y étions
Tout le monde était bien là, tout le monde était à l’heure, si l’on tient compte du ¼ d’heure de politesse, on discute, on échange, on rigole et c’est parti.
Sur la bonne idée d’Andréa, nous avons eu l’aide de Vanessa, une ex-future-ex Watah (enfin c’est un peu ça), elle-même photographe aussi qui est venue mettre son –bon- grain de sel dans cette séance : « attends, là ça ne va pas, tiens pourquoi ne pas essayer ça », bref, comment dire…
En fait, pour tout dire, c’était un moment très agréable, très enrichissant, pour certaines c’était une première et leur retour était des plus adorables.
Une belle séance, riche, haute en couleurs, pleine de rires, de bonne humeur, de sérieux et d’implication et des images de backstage réalisées par Vanessa en mode espion –elle est aussi dans l’image mais chuuuut- que j’ai tout autant plaisir à vous partager que quelques images du shooting
La vidéo de backstage
Et si on gardait le contact ?
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