Cet endroit est beau.
Je ne pouvais m’en arracher.
C’est là qu’on voit poindre cette haute falaise qui mure la Normandie, qui commence au bourg d’ Ault , s’échancre à peine pour le Tréport, pour Dieppe, pour Saint – Valéry en Caux, pour Fécamp, où elle atteint son faite culminant, pour Etretat où elle se sculpte en ogives colossales, et va expirer au Havre, au point où s’évase cet immense clairon que fait la Seine en se dégorgeant dans la mer …
Victor Hugo
Lettre du 8 septembre 1837 adressée à son épouse Madame Adèle Hugo ;
extraits de la lettre à propos du panorama des falaises